Pour une fonctionnalité complète de ce site web, il est nécessaire d’activer JavaScript.
Sans-abri
Depuis 30 ans, l’hébergement d’urgence « La Marmotte » de l’Armée du Salut à Lausanne offre aux personnes sans logement ni abri un lit pour la nuit de manière rapide et sans formalités.
Sans-abri, Solitude
Nicolas Gabriel avait déjà vécu la solitude avant d’être sans domicile fixe. Les raisons étaient chaque fois différentes. Il nous explique dans l’interview qu’il nous a accordée comment il a fait face à ces expériences et ce qui l’a aidé dans ces situations.
C’est une question que tu t’es certainement déjà aussi posée. En Suisse justement, cela ne peut pas se passer ! Pourtant, à l’Armée du Salut, nous sommes confrontés quotidiennement au sans-abrisme, c’est pourquoi notre travail se concentre beaucoup sur ce thème. Nous voulions examiner de plus près les raisons qui font que quelqu’un est sans-abri et le reste.
Ce matin‑là, il fait un froid de canard lorsque nous nous mettons en route pour le Centre de rencontre Open Heart de l’Armée du Salut à Zurich. Pendant une journée, nous allons accompagner l’équipe de Pjtsch Kupferschmid, directeur du Centre, qui s’engage en faveur de celles et ceux qui doivent passer leurs journées, et parfois leurs nuits aussi, dans la rue par un tel froid.
« L’Armée du Salut me permet de tenir debout. Il y a quatre ans, j’étais au fond du trou. A l’époque, je n’aurais jamais imaginé que je retravaillerais un jour comme cuisinier. Lorsque j’ai, pour la deuxième fois, perdu un être cher, j’étais atterré. Je ne ressentais plus que vide et obscurité. »
Loger, Sans-abri
Cynthia (20 ans), qui n’avait pas eu de véritable chez-soi depuis son enfance, a fini par vivre à la rue. Dans son récit, elle raconte comment elle en est arrivée là, et comment elle a trouvé de l’aide auprès de l’Armée du Salut.
Au début de la saison froide, le 1er novembre 2021, le nouvel accueil de nuit de l’Armée du Salut, nommé « Le Passage », a ouvert ses portes comme prévu à Genève. Ici, des hommes sans abri ainsi que des mineurs non accompagnés trouvent provisoirement un refuge sûr, un lit chaud et une oreille attentive.
À Vienne, un nouvel établissement pour les sans-abri a été inauguré. Il s’agit de la maison SalztorZentrum de l’Armée du Salut, à la Große Schiffgasse 3, dans le deuxième arrondissement. Le conseil d’arrondissement ainsi que des représentantes et représentants du Fonds Soziales Wien (Fonds social viennois), de la Dachverband Wiener Sozialeinrichtungen (fédération de prestataires de services sociaux à Vienne) et de la Armutskonferenz (conférence sur la pauvreté), notamment, ont transmis leurs meilleurs vœux à cette occasion.
Sept mères, une grand-mère et douze enfants ont fui la guerre en Ukraine. Après un voyage pénible, ils ont trouvé un hébergement sûr et un endroit pour se reposer dans le canton de Bâle-Campagne. Leur avenir est incertain, mais ils espèrent recevoir l’aide de Dieu et de pouvoir bientôt retourner dans leur patrie.
Peut-être vous êtes-vous déjà posé les questions suivantes : que puis-je faire pour aider les sans-abri, notamment en hiver, lorsque les conditions dans la rue sont particulièrement rudes ? Fait-il sens de donner de l’argent ? Nous avons réuni quelques conseils pratiques à votre intention.
Depuis des années, les loyers augmentent en Suisse, tant dans les agglomérations qu’à la campagne. Les loyers à prix abordable deviennent de plus en plus rares. Les loyers qui augmentent peuvent devenir un problème pour les jeunes, les familles et les familles monoparentales en particulier, mais aussi pour les personnes en situation de handicap physique ou psychique. Dans le pire des cas, ils peuvent conduire au sans-abrisme.
Après des dizaines d’années de consommation excessive d’alcool, Stefan Gerber avait tout perdu. Ce n’est qu’au Foyer de passage de l’Armée du Salut de Thoune qu’il a retrouvé la paix intérieure et le sentiment de sécurité, et qu’il a réussi à se libérer de sa dépendance.
Une histoire parlant du risque imminent de se retrouver à la rue et d’un nouveau-né au Foyer de passage, et de ce que cela a à voir avec Noël.
Ce que la Bible dit au sujet du sans-abrisme
Nicolas Gabriel (57 ans) a vécu presque le tiers de sa vie comme sans-abri à Zurich. Lors de l’interview qu’il nous a accordée, il nous parle de sa vie entre « nature et culture », du combat quotidien et de la manière dont il trouvé un chez-soi à l’Armée du Salut.
Thomas Frommherz, responsable de « housing first » de l'Armée du Salut à Bâle, parle du lancement du projet et de son souhait pour l’avenir.
En Suisse, pays riche, il y a également plusieurs milliers de personnes qui n’ont pas de domicile fixe. Le problème s’est nettement aggravé lors de la pandémie du COVID-19. En fait, combien de sans-abri y a-t-il en Suisse et comment vont-ils ? Des chercheurs de la Haute école spécialisée du nord-ouest de la Suisse (FHNW) mènent actuellement la première étude à l’échelle de la Suisse. Nous pouvons publier les premiers résultats dans le présent article.
Le fait de se retrouver sans abri s’accompagne d’un grand sentiment de honte. La colère, la peur et le désespoir peuvent prendre le dessus. Les deux récits de vie illustrent le sort des personnes touchées par le sans-abrisme et comment elles se sentent.
« Le Passage » a été inauguré ! Le 21 octobre 2021, le nouvel Accueil de Nuit de l’Armée du Salut a été officiellement remis à l’équipe d’exploitation. Dès le 1er novembre, des personnes sans abri dormiront dans un bâtiment agréable et baigné de lumière.
À quoi ressemble Noël pour les personnes qui n’ont pas de chez-soi ? Celles qui vivent dans la rue, ou celles qui sont hébergées provisoirement chez des amis ? Dustin Peter (22 ans) a été sans abri pendant deux ans. C’est uniquement grâce au projet « housing first » de l’Armée du Salut à Bâle qu’il a obtenu un appartement.
Die häufigsten Fragen zum Thema Obdachlosigkeit.
Nous sommes fin septembre. Après une expatriation ratée de quatre ans en Espagne, Erika* revient en Suisse. Il était convenu qu’elle pourrait loger de manière transitoire chez une connaissance. Pourtant, lorsque la situation se présente, l’amie ne veut plus rien entendre. Comment faire ?
Jadis, Hans Streun se déplaçait beaucoup à vélo et allait volontiers danser. Jusqu’au jour où un accident a changé sa vie. La rue est alors devenue sa maison. Durant de nombreuses journées, Hans a inlassablement erré à travers la ville. À ses côtés, il tenait son vélomoteur Piaggio des années 80. Jusqu’au jour où il a atterri au « Lorrainehof ».
Addiction, Sans-abri
Le Foyer de passage de Winterthour est un centre d’accueil pour les sans-abri en situation d’urgence. De nombreux résidents de ce foyer sont touchés par l’addiction. Portrait de ce lieu.